vendredi 6 avril 2007

L’emploi, une priorité absolue dans le programme électoral présidentiel !!!

"CHARM EL CHEIKH (TAP) – … avec une délégation tripartite, conduite par M. Ali Chaouch, ministre des Affaires sociales, de la Solidarité et des Tunisiens à l'étranger, et composée des représentants de l'Union tunisienne de l'industrie, du commerce et de l'artisanat (UTICA) et de l'Union générale tunisienne du travail (UGTT). …, M. Ali Chaouch a souligné la place privilégiée qu’occupe le dossier de l’emploi en Tunisie en tant qu’attribut fondamental de la dignité de l’homme et eu égard à ses incidences directes sur la sécurité, la stabilité et l’équilibre de la société. Il a relevé la priorité absolue dont bénéficie ce secteur vital dans le programme présidentiel "Pour la Tunisie de demain". Le ministre a ensuite passé en revue les réformes fondamentales introduites dans le domaine de l’emploi et sur le code du travail, ainsi que les programmes et mécanismes mis en place en vue de renforcer l’emploi des jeunes et des diplômés de l’enseignement supérieur en particulier… » La presse.

Bon et bien voila, l’emploi des cadres est une priorité de la nation. Êtes-vous disposés à payer le prix ?

Si je suis revenu sur la Tunisie, c’est justement pour créer du travail pour les cadres (14 postes en 12 mois). Mon but est non seulement de créer de l’emploie, mais de créer des structures viables, qui tiennent dans le temps et capables de se mesurer à leurs consœurs étrangères. Des structures suffisamment attractives pour attirer vers elles les meilleurs, y compris la porte sur l’Europe ouverte.

Seulement pour tenir le cap et y arriver, il faut donner envie aux meilleurs de rester en Tunisie, voir même de revenir. L’une des raisons qui font que l’attractivité de ses structures en Tunisie soit fortement altérée, c’est l’impression de l’arbitraire et d’injustice.

Mon objectif et souhait est de faire tomber ce sentiment. J’y arrive plus ou moins dans l’entreprise, je souhaite y arriver aussi à l’extérieur de l’entreprise; d'où ce blog.

Ce qui veut dire en résumé que pour y arriver, je dois moi-même démontrer qu’il peut exister un cadre de vie, où le harcèlement partisan n’existe pas, à défaut de quoi, l’impact sur le moral des jeunes qui me voient agir et qui souhaiteraient entreprendre dans leur pays d’origine, serait une catastrophe nationale.

Si réellement l’emploie des jeunes cadres étaient aussi sincèrement la priorité du pouvoir, la lutte contre l’arbitraire et la désinformation devrait l’être en préalable.
Et aujourd’hui le pouvoir se doit de choisir entre :
- le statuquo actuel, au risque de ne créer que des emploies de secondes zones pour les cadres.
- la jeunesse, au risque de se retrouver déstabilisé par tous ceux qui n’ont d’intérêt dans la structure de l’état, que leurs intérêts personnels.

1 commentaire:

Anonyme a dit…

Oui, probablement il est donc