mardi 24 avril 2007

Lorsque Le Temps du printemps arrive, que la Tunisie peut être belle.

Le poids de la critique s’accroit lorsque l’on sait reconnaître les bonnes choses lorsqu’elles se produisent.
Alors que La presse reste paralysée par une direction directement liée au parti politique au pouvoir, l’éveil et la prise de conscience des journalistes semblent s’esquisser dans le Journal "Le Temps". Où, non seulement l’on peut voir de temps en temps une forme d’éducation à la présence d’opposition, mais aussi on constate une forme d’éducation civique telle que « les insultes une autre forme de pollution ».

Donc chapeau bas.

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