mardi 26 juin 2007

liberté de parole?

Le premier 1er juillet liberté de parole, sauf dans mon blog, où je limite ma liberté de parole aux autres jours de l'année.

Pourquoi je ne suis pas pour la liberté de parole?

Simplement parce que lorsque la liberté de parole ça ne se demande pas, ça se prend et ça s'assume.

Je ne suis pas pour la liberté de parole, lorsque la parole est pleine de haine et de frustration, je ne suis pas pour la liberté de la parole lorsque l’on caresse le peuple dans le sens du poil, pour en tirer un profit ou une gloire.

Non je ne suis pas solidaire, je suis allergique au manque de courage, à ceux qui ont besoin de la couverture des autres pour avancer.

Vive la république, vive la liberté.

samedi 23 juin 2007

Economie : Les pouvoirs publics face au casse-tête de la création d’entreprises

http://www.webmanagercenter.com.tn/management/article.php?id=29705

Résumé : On se casse la tête sur la création d’entreprise.

Je ne crois pas que l’on se soit vraiment cassé la tête, pour favoriser la création d’entreprise. La première mesure qui serait efficace pour favoriser la création d’entreprise c’est de mettre à terre ceux qui profitent de leur lien avec la présidence pour mettre la main sur les ressources du pays.

C’est bien beau de demander aux gens de prendre des risques pour entreprendre, lorsque tous ce que la Tunisie compte de source de revenu est réservé à quelques individus poches d’une manière ou une autre de ceux qui détiennent les pouvoirs publics.

vendredi 22 juin 2007

Fin de stage des deux jeunes de l'ENIT


Les deux jeunes de l'ENIT, qui ont fait leur PFE dans nos bureaux, viennent de terminer leur stage par une soutenance, où ils ont été à la hauteur de nos attentes.

Donc Felicitations.

Le lycée Louis Pasteur menacé de fermeture en Tunisie

"titre du journal Lepoint :
11/06/2007-18h06 - Rubrique coordonnée par Irène Inchauspé - © Le Point.fr
Femme d’affaires avisée, Madame Leila Ben Ali, épouse du chef de l’Etat tunisien et son amie Souha Arafat, veuve de Yasser Arafat, qui vit en Tunisie, ont l’intention d’ouvrir prochainement un lycée privé, "l’École internationale de Carthage". Une initiative louable, si dans le même temps, la première dame de Tunisie et celle qui le fut en Palestine n’avaient pas obtenu que le ministère de l’Éducation tunisien ordonne la fermeture du lycée Louis Pasteur. Cet établissement privé, dont la directrice et propriétaire est française, prépare aux examens d’État français et a le tort d’être fort réputé. L’École internationale de Carthage veut donc capter la clientèle des élèves de Pasteur et les professeurs qui, dans l’immédiat, résistent."


Ne rien faire, ou laisser faire serait tomber plus bas que terre. Il revient à chacun d'entre nous d'assumer ses responsabilités et d'agir pour que le font du gouffre ne soit pas atteint. A défaut de quoi l'impacte serait catastrophique.

mardi 12 juin 2007

La frustration sexuelle a un impact négatif sur la productivité

Ça aurait prêté à rire, si je n’avais pas réellement constaté dans mon entreprise, que l’absence d’activité sexuelle chez les jeunes de 20 à 30 ans, était une source de perte de productivité.


L’absence de vie sexuelle chez certains jeunes provoque des troubles de comportements, ainsi qu’un manque de confiance en soit, nuisibles à la productivité d’une entreprise.


Je ne suis pas en mesure de quantifier ces pertes, ceci dit je peux certifier de leur réalité.


En résumé, l’épanouissement sexuel, comme les autres formes d’épanouissements sont indispensables à la sortie du sous développement.

Et si le nombre de brevets déposés, par pays, était lié au niveau d’épanouissement sexuel, dans les différents pays, on devrait s’inquiéter gravement sur le l’épanouissement de nos compatriote.

dimanche 10 juin 2007

Fin de journée au forum de l’ATUGE

Je suis arrivé au forum de l’AUGE vers 16h00, là j’ai discuté longuement avec des jeunes de l’ETP, mon objectif était double, à la fois chercher à identifier les spécificités des jeunes de cette école, mais aussi la manière dont l’ensemble des jeunes étudiants tunisiens, en stage ou étudiant en Europe, appréhendaient leur environnement professionnel. Ce n’est qu’une première approche et je ne compte pas m’arrêter là.
Lorsque l’on est rentré dans la salle, mes yeux étaient fixés sur la porte d’entrée de la salle, où je scrutais l’invités comme un videur dans une boite de nuit. 20 minutes à scruter les gens qui rentrent et qui sortent de la salle.
A la conférence tripartite, on se demandait ce que les gens avaient à ce dire, temps ils étaient étrangers les uns pour les autres.
Il y avait dans la salle deux types d’offreurs, ceux qui veulent implanter leur entreprise dans un monde où les salaires sont moins élevés et ceux qui veulent prendre des parts de marché, grâce à du personnel à faible coût.
L’un comme l’autre n’avaient rien à proposer à des jeunes, qui pour grande partie, ne rêvaient que de faire fortune.
Alors, si j’ai conseil à donner aux organisateurs, pour ne pas voir leur forum se transformer en salon de l’emploi au rabais, ça serait de traiter dans leurs prochaines rencontres les vrais problématiques les jeunes étudiants et non des problématiques des entreprises. Je sais bien que c’est elles qui financent et que ce n’est pas simple de faire autrement.
Après la réunion, nous sommes sortis, en direction de la récréation finale où là aussi, mon regard était de nouveau porté sur celui des autres à longueur de fin de journée.
Non, je ne voulais pas y aller, toutefois je ne pense pas avoir perdu ma journée et certaines rencontres demandent à être approfondies.
En notera aussi que c’est le premier forum sans Mokhtar Laâtiri.