mercredi 18 novembre 2009

mesdames et messieurs les garants de la souveraineté et de l'Indépendance

La Tunisie et les Tunisiens sont souverains et indépendants.
Article premier de la constitution : « La Tunisie est un Etat libre, indépendant et souverain »

Le peuple n’est inféodé à personne
Article 3 de la constitution : « La souveraineté appartient au peuple tunisien »

Le peuple ne se plie qu’à la justice
Article 4 de la constitution : « La devise de la République est : Liberté, Ordre, Justice. »
L’article 4 de la constitution ajoute : « La République Tunisienne a pour fondements les principes de l'Etat de droit. »

La république garantie le même droit pour tous
Article 6 de la constitution : « Tous les citoyens ont les mêmes droits et les mêmes devoirs. Ils sont égaux devant la loi

Vous avez actuellement deux affaires, pour lesquelles la Tunisie fait valoir la souveraineté de son peuple.

D’un coté Ben Brick : accusé d’avoir agressé une dame dont on ignore tous, incarcéré alors que malade, non dangereux pour la société et presque jugé et qui risque quelques années de prisons.

De l’autre coté, vous avez Imed Trabelsi : accusé d’avoir volé un bateau à un cadre étranger, confondu par un expert en assurance, a discrédité une partie du monde des affaires en Tunisie, non incarcéré, non jugé et qui ne devrait pas risquer grand-chose.

Conclusion :
- Article 6 violé
- Article 4 violé
- Arcticle 3 violé par conséquence,
- Article 1 remis en cause .

Autres articles violés :
- Article 2 violé car il dit « La République tunisienne garantit les libertés fondamentales et les droits »
- Article 7 violé : « Les citoyens exercent la plénitude de leurs droits »
- Article 8 violé : « Les libertés d'opinion, d'expression, de presse, de publication, de réunion et d'association sont garanties »
- Article 12 violé : Il est interdit de soumettre quiconque à une garde à vue ou à une détention arbitraires ".

Je voudrais donc que l’on me dise de quelle souveraineté parle-t-on ? Peut-être que celle des souverains sur leurs sujets ?

Et de quelle indépendance parle-t-on ? De celle qui fait que tous les citoyens ne rêvent que de partir ou de celle qui fait que tous les citoyens ne rêvent que d’avoir une deuxième nationalité pour couvrir leurs droits ?

vendredi 6 novembre 2009

Bonjour messieurs et mesdames de la police politique,




Je viens de lire sur internet, peut-être encore une salle histoire inventée par l’ennemi colonialiste, que vous avez entre vos mains la belle fatma Arabicca, brune et la trentaine.

Faites attention a elle et surtout, surtout ne lui gâchez pas son beau et joli sourire, tellement de jeunes sont déprimés, tellement de jeunes n’en plus le sourire que gâcher celui de celles qui, malgré tous l’on encore.

Ça serait une atteinte à la préservation du patrimoine national, le sourire symbole du pays et pourtant de plus en plus menacé d’extinction par la désertification de l’idéal républicain.
Je n’ai pas eu le plaisir de lire son blog, car sans doute fermé.

J’ai cru comprendre aussi que vous recherchiez d’autres blogeurs et bloggeuses. Si c’est pour constituer un nouveau forum de dialogue avec la jeunesse ce n’est pas comme cela qu’il faut s’y prendre car vous leur faite peur.

Et s’il y a un combat plus important que le combat contre l’intégrisme, c’est celui contre la peur.
Messieurs et mesdames les policiers politiques, sachez que je viens en Tunisie presque tous les mois et que mon identité est facile à trouver. On pourra avec plaisir prendre le temps de discuter autour d’un café sur toutes formes de questions politiques et sur l’avenir de la jeunesse le dialogue, ou n’importe quel autre sujet de votre choix.

Sachez aussi, que je suis totalement solidaire avec certains bloggeurs chez qui j’aime me rendre pour les lire et faire quelques commentaires.

Plus particulièrement le blog de Z, avec qui je suis solidaire à 100% sur tous ce qu’il peut dessiner ou écrire.

Messieurs et mesdames de la police politique sachez aussi qu’en luttant contre le terrorisme et l’intégrisme vous aurez de nombreux soutiens dans le monde, y compris le mien, mais qu’en touchant à vos enfants épris de libertés vous ne trouverez que de l’opposition dans le monde, à commencer par la mienne.

Personne ne m’oblige à rien, pourtant une passion m’anime jusqu’à consacrer la majorité de ma force à faire émerger l’avenir de cette jeunesse, je n’accepterais pas que des intérêts partisans viennent gâcher cet avenir.